
Le très haut degré de dépendance du réseau envers le photovoltaïque semble avoir joué un rôle dans la panne ibérique, mais rien n’est prouvé. Identifier l’origine du problème doit permettre de prévenir les risques dans la Péninsule et ailleurs
Trois jours après le black-out en Espagne, ses causes restent méconnues. Il y a eu la thèse de la cyberattaque, celle d’un feu au sud de la France qui a endommagé une ligne électrique à haute tension. Une théorie qui évoque l’incendie d’une station de couplage près de Heathrow et qui a privé de courant l’aéroport londonien en mars. Il a aussi été question d’un acte de sabotage. Mais toutes ces hypothèses semblent écartées à ce jour.
A part une, mais elle est contestée par les principaux concernés, la direction de Red Eléctrica, le gestionnaire du réseau de transport d’électricité en Espagne: celle qui pointe un degré de dépendance à l’électricité photovoltaïque trop élevé.
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