
La marque lausannoise est sous tension depuis quelque temps. Le potentiel n'est pas en cause. Mais la stratégie doit être révisée et il n'y aura pas de suite sans investisseurs. Un tour de table est en cours de structuration
Au départ, il y a un designer lausannois, Claudio D’Amore, qui a tenu lundi une présentation en ligne pour expliquer le futur de sa marque, CODE41. Il s’est formé à l’Ecole cantonale d’art de Lausanne (ECAL), dessine de tout, jusqu’à ce que l’horlogerie croise sa route, lorsqu’il s’engage dans un studio à Londres. A un moment donné, il a voulu aller voir de l’autre côté du produit et construire une marque. Il a maintenant 48 ans et depuis huit ans, il ne fait plus que ses propres montres.
Lorsqu’il lance CODE41, en 2016, le projet est encore pionnier, entièrement construit sur la vente en ligne et la communauté digitale. Jusqu’à présent, près de 25 000 montres ont été vendues, à près de 20 000 clients issus d’une tribu de 350 000 membres.
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