Les entreprises suisses s’ouvrent aux congés sabbatiques Quitter son poste jusqu’à une année: ces «pauses professionnelles» deviennent plus fréquentes et représentent un facteur d’attractivité pour les entreprises qui les proposent. Mais elles ne sont pas accessibles à tous, ni sans risque «J’ai parlé de mon projet d’année sabbatique à mon codirecteur un an à l’avance. Il fallait notamment trouver du personnel qui me remplacerait en partie. La préparation que ça nécessite est énorme.» Yves Neuenschwander est codirecteur d’Arc Logiciels, entreprise d’informatique de 40 personnes à Yverdon. Il y a quelques années, il est parti pour vivre une expérience d’un an en famille à Sydney tout en effectuant une formation post-grade en développement informatique et gestion de projet. A la tête d’une plus grande entreprise, le directeur général de Swatch a décidé d’un commun accord avec la société de prendre un congé sabbatique d’une année «pour des raisons personnelles», apprenait-on la semaine passée. Le président de la marque Hamilton a repris le poste au 1er octobre. La marque a démenti tout lien avec la polémique déclenchée cet été par une campagne publicitaire. Voir plus
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