A Anvers, le négoce de diamants AFFINE ses réponses aux sanctions contre Moscou
En Belgique, le monde du négoce de diamants se prépare à l'interdiction dans l'UE des pierres précieuses russes, dans le cadre d'un nouveau paquet de sanctions liées à la guerre en Ukraine que doivent approuver prochainement les Vingt-Sept.
Dans le quartier des diamantaires à Anvers, par lequel transite 86% des diamants bruts du monde, des laboratoires se tournent vers des technologies de type Blockchain pour prouver que leurs pierres précieuses viennent de mines en Afrique, Australie ou au Canada, mais pas de Russie.
Au sein de l'UE, la voix de la Belgique s'est faite entendre quand il s'est agi d'imposer de nouvelles sanctions à la Russie frappant cette fois son lucratif commerce de diamants, avec lequel Moscou est accusé de financer une partie de sa guerre contre l'Ukraine.