On a l’impression que Covid et confinements ont fait exploser la livraison de repas à domicile, que tout le monde ou presque y va de son initiative.Et ce constat est validé. Non seulement le volume des acteurs existants est en forte augmentation. Je parle des Uber Eats, Deliveroo, Takeaway, etc., bien sûr. Mais certains restaurants développent leur propre service de livraison et les grandes enseignes de distribution veulent aussi s’approprier une part du gâteau des repas à domicile.Quelques exemplesD’abord, il y a les entreprises qui vous livrent des repas à domicile sur abonnement comme les hollandais d’Hello Fresh ou les pionniers belges d’E-Farmz, ces derniers étant bio et économie locale.Et bien un nouvel acteur liégeois vient d’arriver sur le marché, c’est HOMI qui propose des plats à commander avant vendredi soir pour une livraison le lundi. Bref, vous n’avez plus d’excuse pour manger sain et varié à la maison, bio ou pas selon les fournisseurs.Malgré cette solide offre existante, la grande distribution s’invite à présent dans ce marchéEt c’est logique. Les Belges veulent de plus en plus de plats préparés et la grande distribution y répond dans ses magasins. Ce qui est nouveau, c’est qu’elle se propose à présent de vous livrer ses plats préparés à domicile : à l’instar de Rose Mary, le nouveau concept de
COLRUYT, ou encore de la collaboration de
CARREFOUR avec Uber Eats en Belgique.
CARREFOUR ayant même signé un accord d’exclusivité avec Uber Eats, à la fois pour la livraison de vos courses mais aussi et surtout pour des repas livrés à domicile en 30 minutes.Et puis ce sont les restaurants qui s’y mettent avec leur propre service de livraisonOui. Un exemple ? Le restaurant « les Filles » qui a récemment lancé sa formule « Les Filles chez Vous » ou de HOMI qui a son propre service de livraison. Dans les deux cas, c’est par la volonté de maitriser toute la chaine et/ou de respecter ...