Source : Challenges.fr (il y a 70 mois)

Entreprises, passez du bien-être ou plein-être au travail!

VIDEO Les enquêtes pointent régulièrement des salariés en manque de motivation et de reconnaissance, peu engagés dans leur travail, voire en souffrance psychologique. Pourtant, les entreprises n'ont jamais autant investi dans le bien-être au travail. Pourquoi? L'explication de Hamid Bouchikhi, professeur de management et d'entrepreneuriat à l’ESSEC Business School et directeur du Centre d’excellence en entrepreneuriat.

Lundi 25 juin 2018, 12h46 - LIRE LA SUITE

Actualités associées par pertinence


04h03	Les entreprises boudent l'expérience sur la réduction du temps de travail

12h02	Environnement, travail forcé: les eurodéputés votent pour responsabiliser les entreprises

19h00	En France, la semaine «en» quatre jours sans diminution du temps de travail est-elle vraiment un outil de bien-être?

13h01	Comment bien utiliser l'IA dans le monde du travail ?
08h05	Flicage des salariés : les entreprises sont (aussi) sous surveillance

16h02	Eviter un procès mais renoncer à se défendre : La transaction pénale est à double tranchant pour les entreprises

12h01	Bien-être au travail en Suisse: Cours de développement personnel au bureau: une efficacité mitigé

18h01	Certaines entreprises britanniques adoptent définitivement la semaine de travail de quatre jours

14h03	«L'offre de qualité de vie au travail s’est gadgétisée et brouille l'esprit des dirigeants», estime Vincent Baud, du cabinet Master

19h02	Conseil constitutionnel : le Code du travail est bel et bien conforme au texte de 1958

12h03	Indice de bonheur au travail d'ADP Canada : la génération Z commence 2024 sur une note moins joyeuse	Communication Officielle

18h05	L’IIGCC sort son nouveau document de travail sur le scope 3

12h01	«On ne peut pas tout le temps être à 150%»: comment tirer profit d'un passage à vide dans votre carrière?

15h02	Bien-être au travail : les effets peu concluants des activités sur la santé mentale des salariés

17h01	«Ministre de la Santé, c’est un travail à temps plein!» : les professionnels déçus d’être noyés dans un méga ministère social