Laurent Freixe licencié de Nestlé: fallait-il qu’il l’aimât… CHRONIQUE. Nestlé vient de licencier son directeur général sur fond de relation extraconjugale non déclarée. Est-ce bien raisonnable, se demande notre chroniqueuse Marie-Hélène Miauton, où cela cache-t-il autre chose? Oui, fallait-il qu’il l’aimât cette collègue pour renoncer, ce faisant, à un salaire annuel de 2 millions et demi et une prime de départ potentielle de 10 millions. Les modestes bagues aux éclats de diamants des amoureux ordinaires semblent bien dérisoires face à une preuve d’affection aussi stratosphérique. Mais quand on aime, on ne compte pas dit l’adage populaire. Selon le président du conseil d’administration de Nestlé, la décision de licencier son grand boss avec effet immédiat était nécessaire «en raison d’une relation non déclarée avec une subordonnée directe.» Subordonnée, comment le lui reprocher, puisque le coupable se trouve au sommet absolu de l’échelle hiérarchique d’un paquebot de près de 300 000 personnes, dont sans doute une moitié de femmes. Détail piquant, le portail d’informations financières Inside Paradeplatz affirme que l’homme est un récidiviste: il y a 8 ans, il aurait déjà rencontré son épouse actuelle (la pauvrette) dans les couloirs du géant de l’agroalimentaire qui regorge apparemment de tentations irrésistibles. Ah ces Français! Voir plus
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