La saisie du temps de travail dans les start-up divise
Une initiative parlementaire visant à flexibiliser l’enregistrement du temps de travail dans les jeunes pousses suisses relance le débat sur les enjeux particuliers de ces entreprises
Les employés de start-up détenant des participations dans l’entreprise ne doivent plus être obligés de noter leurs heures. C’est peu ou prou ce que propose une initiative parlementaire déposée en 2016 déjà par le conseiller national Marcel Dobler (PLR/Saint-Gall). Elle devait être traitée à la chambre basse ce mardi.
Il n’en sera rien: la Commission de l’économie et des redevances du Conseil national a décidé fin novembre de ne pas présenter ce projet à cette session parlementaire, ayant pris connaissance de l’avis négatif du Conseil fédéral.