COMMENTAIRE. Les participants au Forum économique de Davos n’ont pas manqué de s’inquiéter des résultats des multiples élections attendues cette année. Avec un grand sentiment d’impuissance
Après les polémiques autour du nouveau gouvernement de son premier ministre, Gabriel Attal, Emmanuel Macron a pu s’offrir mercredi une bonne bouffée du réputé oxygène de Davos. Même plus que ça. On peut dire que le président français se trouvait enfin dans son élément au Forum économique mondial, face à un parterre de personnalités qui parle son langage, celui du libéralisme éclairé.
Retraites, impôts, réindustrialisation, stratégie nucléaire, construction européenne… le président français a défendu vigoureusement sur scène le bilan de ses six années de présidence. De nombreux indicateurs plaident d’ailleurs en sa faveur: le chômage n’a jamais été si bas et la France est en passe de devenir la locomotive du Vieux-Continent en raison des problèmes de santé économique de l’Allemagne.
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