
Lors de la troisième année de guerre, les Européens ont acheté à la Russie pour 22,6 milliards d’euros d’hydrocarbures, malgré les sanctions. Le gaz est toujours livré librement contrairement au pétrole, souvent écoulé clandestinement
Des centaines de navires «fantômes», des transbordements, des failles juridiques et autres exemptions pour certains Etats. Ou simplement pas de sanctions. Pétrole, produits raffinés, gaz via gazoduc ou gaz naturel liquéfié (GNL) russes continuent d’être écoulés dans une Europe qui, malgré 16 rounds de sanctions, peine à réduire drastiquement sa dépendance énergétique envers Moscou.
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