
Mark Zuckerberg a décidé de supprimer les programmes de son entreprise qui favorisaient une meilleure inclusion des femmes et des minorités. Un mouvement qui pourrait polariser les organisations suisses, dont une minorité dispose toutefois de mesures sur ces questions
En matière d’inclusion et de diversité, le vent semble tourner aux Etats-Unis. Risque-t-il d’emporter des entreprises suisses sur son passage? Mardi, Donald Trump a suspendu les employés des programmes de diversité en les mettant en congé forcé. Et après FORD et Harley-Davidson qui ont fait marche arrière sur certains principes liés à la diversité en 2024, le directeur de Meta, Mark Zuckerberg, a signalé début janvier des changements concernant ses (futurs) employés.
Dans le détail, Mark Zuckerberg précise que Meta (qui possède notamment Facebook, WhatsApp et Instagram) cessera d’utiliser l’approche «Diverse Slate» consistant à s’assurer que la liste des candidats pour un poste comprend un éventail varié de profils, notamment en termes de genre, d’origine ethnique et d’âge. Meta a aussi mis fin aux objectifs de représentation des femmes et des minorités ethniques commencés avant 2019 et elle n’aura plus d’équipe dédiée à la diversité, équité et inclusion. Entre autres.
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