Le jeu qui sort ce jeudi 18 janvier ressuscite une licence absente depuis quatorze ans des écrans. Le titre est assurément une bonne pioche, mais il pèche par manque d’originalité. L’éditeur français est pourtant sur le fil du rasoir
Ubisoft va-t-il réussir à stopper l’hémorragie? Depuis la fin du mois de novembre 2023, l’action de l’éditeur français de jeux vidéo a perdu plus de 31% à la bourse de Paris. Mardi 16 janvier, l’action chutait de plus de 7%, atteignant 20,82 euros, contre 30,26 euros le 21 novembre 2023. La sortie de Prince of Persia: The Lost Crown ce jeudi 18 janvier sur les consoles de salon actuelles et sur PC pourra-t-elle rassurer les marchés?
L’enjeu est de taille pour ce titre qui ressuscite une licence absente des écrans depuis 2010. Du chemin a été parcouru depuis la sortie du premier opus en 1989 sur APPLE II, le premier ordinateur personnel de la marque à la pomme. UBISOFT a pour sa part acquis les droits de Prince of Persia en 2001. L’éditeur français en a fait une licence à succès, notamment grâce à la trilogie des Sables du temps, parue entre 2003 et 2005. Une franchise pour laquelle UBISOFT revendique plus de 20 millions de ventes au total.
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