Le constructeur aéronautique
BOEING doit répondre jeudi au plus tard au ministère américain de la Justice, qui a prévenu mi-mai d'un risque de poursuites pénales pour non-respect d'un accord conclu après deux crashes ayant fait 346 morts.
L'agence Bloomberg a rapporté en soirée mercredi que
BOEING avait adressé sa réponse dans la journée, niant toute violation.
Dans la foulée, le constructeur s'est refusé à tout commentaire concernant ses communications avec le ministère de la Justice (DOJ), précisant "continuer de dialoguer en toute transparence" avec lui.