PARIS (Reuters) - Le secrétaire d'Etat français aux Affaires européennes, Clément Beaune, a déclaré lundi que la "très probable" hausse des prix des vaccins contre le COVID-19 de
PFIZER et Moderna dans les contrats en cours de négociations avec l'Union européenne (UE) était notamment liée à "plus d'exigences" à l'égard des laboratoires.
Le Financial Times a rapporté dimanche que
PFIZER et Moderna avaient augmenté le prix de leurs vaccins contre le COVID-19 dans le cadre des derniers contrats d'approvisionnement de l'Union européenne.
Selon le quotidien économique, le nouveau prix d'une dose du vaccin de
PFIZER et BionTech s'établirait à l'avenir à 19,50 euros (contre 15,50 euros précédemment) et celui d'une dose du vaccin Moderna atteindrait 25,50 dollars la dose (bien plus que les 19 euros du premier contrat mais moins que les 28,50 dollars convenus auparavant du fait d'une augmentation du volume des commandes).