La plupart, voire la totalité des nombreuses données et documents en ligne continuent d’exister. Que ce soit sur les réseaux sociaux ou sur le stockage en ligne.Alors, il y a des règles générales d’abord qui s’appliquent à tous les secteurs, y compris les secteurs du digital. Notamment sur la propriété des données.Par contre, conscients de cette problématique, de nombreux services sur le web, comme le stockage en ligne, et sur les réseaux sociaux ont mis en place un système de transmission des comptes ou de leur contenu voire de fermeture de ces comptes.Un exemple pour le stockage : Dropbox, qui cesse d’assurer le fonctionnement après une période d’un an sans la moindre activité sur un compte. C’est une règle relativement répandue.Les comptes commémoratifs FacebookL’exemple de Facebook est intéressant. Dès que le réseau social est averti du décès d’un titulaire par la famille ou un proche, il transforme son compte en compte commémoratif. Une fonctionnalité permet alors de donner accès au compte commémoratif Facebook à un “contact légataire” désigné au préalable. Celui-ci pourra alors supprimer le compte ou, au contraire, le gérer en épinglant une publication mortuaire ou en modifiant les photos de profil et de couverture du défunt. Le contenu du compte est alors complètement et définitivement verrouillé.Des dispositions légales en vous inscrivantDans d’autres services digitaux, en vous inscrivant, le plus souvent sans le savoir, vous acceptez une disposition contractuelle en cas de décès.Chez
APPLE par exemple avec l’iTunes, le droit acheté sur la musique est personnel et s’éteint avec votre décès. Donc votre superbe bibliothèque iTunes de milliers d’euros ne profitera pas à votre descendance.Les conseils :Clarifier sa volonté vis-à-vis de ses proches sur ce que l’on souhaite pour ses données, idéalement, si l’on fait un testament, aborder cet aspect-là aussi. Sur ses données st ...