La fatalité de l’épargne, ou comment l’épargnant se tire une balle dans le piedLIBRE ECO WEEK-END | Le dossier Les euros ne cessent de s’accumuler sur les comptes d’épargne. Des montagnes de cash qui ne rapportent rien. Le paradoxe ne date pas d’hier: le Belge est plus que jamais resté fidèle à son compte d’épargne l’an dernier, les principales banques enregistrant des progressions de l’encours allant de 3% (ING Belgique) à 9,2% chez KBC-CBC. De quoi, sans doute, permettre à l’encours total d’atteindre les 280 milliards fin décembre, alors que les taux d’intérêt n’ont jamais été aussi bas et ne remonteront pas de sitôt. Comment expliquer ce succès alors que 70 % des Belges retiennent le rendement comme principal critère pour déterminer où placer leur argent, selon un récent Observatoire de CBC sur les Belges et leur épargne ?
"C’est la fatalité de l’épargne...
Samedi 11 janvier 2020, 08h03 - LIRE LA SUITE
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