Dans le camp de Chios, le dur quotidien des femmes migrantesPieds dans la boue, sous une bâche plastique à côté des poubelles bondées du camp, sur l'île grecque de Chios, Merziyeh Eskandari, une jeune Afghane de 18 ans, ne s'attendait pas à affronter un quotidien aussi pénible.
Faire la queue pour aller aux toilettes "qui puent", obtenir deux bouteilles d'eau ou une portion du riz, et puis dormir dans le froid, sans eau ou électricité.
Le camp de Vial sur l'île de Chios n'a que 1.000 places mais près de 5.000 demandeurs d'asile y vivent actuellement dans des conditions insalubres, y compris ceux qui, comme Merziyeh, campent dans les champs d'oliviers voisins.
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