MILAN/PARIS (Reuters) - Les accusations de
GENERAL MOTORS contre
FIAT Chrysler Automobiles (FCA) n'affecteront pas le projet de fusion à 50 milliards de dollars entre le constructeur italo-américain et le français PSA, a-t-on appris jeudi de source proche de FCA.
D'après cette source, qui a requis l'anonymat, la procédure lancée par
GENERAL MOTORS ne conduira pas davantage Fiat-Chrysler et PSA à réviser la valorisation des entités appelées à fusionner pour donner naissance au quatrième acteur mondial du secteur automobile.
Le premier constructeur américain a porté plainte mercredi aux Etats-Unis contre
FIAT Chrysler pour racket, accusant son rival de corruption lors de ses négociations avec le syndicat UAW afin d'obtenir des avantages indus sur les salaires et les conditions de travail.