PARIS (Reuters) - Thierry Bolloré, révoqué en octobre de son poste de directeur général de
RENAULT, est libre de travailler dès maintenant chez un autre constructeur automobile, le conseil d'administration du groupe au losange ayant renoncé à exiger l'application de sa clause de non-concurrence.
Cette décision, annoncée dans un communiqué du conseil publié mardi, s'inscrit dans le cadre des arrangements trouvés avec l'ancien numéro deux de
RENAULT, un mois après son départ tonitruant destiné, selon le président du groupe Jean-Dominique Senard, à redonner un second souffle au constructeur français et à son alliance avec Nissan.
"S'agissant de l'engagement de non-concurrence souscrit par M.