La capacité de l'Angleterre à résister à la puissance des avants sud-africains et à imposer son jeu, notamment grâce à sa doublette d'ouvreurs composée de George
FORD et Owen Farrell, sera l'une des clés de la finale de Coupe du monde, samedi à Yokohama (banlieue de Tokyo).
La 2e ligne anglaise à l'épreuve du feu
La deuxième ligne anglaise Courtney Lawes (g) et Maro Itoje à l'entraînement, à Bagshot, à l'ouest de Londres, le 7 août 2019 (AFP/Archives - ADRIAN DENNIS)
Après le récital livré en demi-finales face à Brodie Retallick et Sam Whitelock, où elle a écoeuré en touche et dans les groupés-pénétrants la Nouvelle-Zélande (19-7), la deuxième ligne anglaise composée de Maro Itoje et Courtney Lawes passera un autre genre de test samedi.
Peut-être moins dans les airs et un peu plus au ras du sol, dans le combat au près, pour contrer la puissance des Springboks, qui devraient de nouveau insister sur le combat d'avants, et mettre la charnière dans de bonnes conditions en assurant des libérations de balle rapides par leurs déblayages dans les regroupements.