PARIS (Reuters) - Le PDG d'
ADP Augustin de Romanet a estimé vendredi qu'avoir un actionnaire à plus de 50% du capital, en l'occurrence l'Etat, ne donnait pas forcément à l'exploitant des aéroports parisiens toute la flexibilité souhaitée pour faire des acquisitions.
Le Conseil constitutionnel a validé mi-mai la partie du Plan d'action pour la croissance et la transformation des entreprises, dit loi Pacte, relative à la privatisation d'
ADP dont l'Etat détient 50,6%, qui ne devrait toutefois pas intervenir rapidement en raison d'une initiative parlementaire visant à organiser un référendum sur le sujet.
"Je trouverais totalement indélicat de critiquer nos actionnaires.