Le pouvoir macroniste rattrapé par ses exigences de moralisation
Emmanuel Macron avait symboliquement ouvert son quinquennat en faisant voter des lois de moralisation mais, après deux ans d'exercice du pouvoir, les polémiques sur de supposés abus scandent encore la vie politique, jusqu'à atteindre un des chantres de la transparence, François de Rugy.
22 février 2017, l'élection présidentielle prend un tournant décisif à l'heure où François Bayrou et Emmanuel Macron scellent leur "alliance". Au cœur de leur pacte, une exigence du patron du MoDem: la promesse d'une loi de "moralisation de la vie publique", notamment s'agissant des "conflits d'intérêts".