"Lorena", l'affaire Bobbitt revue sous l'angle des violences conjugales
Quand on prononce le nom de Lorena Bobbitt, les réactions sont souvent les mêmes: des gloussements gênés, une moue pour mimer la douleur en même temps qu'un geste pour se protéger l'entrejambe. Mais on parle peu de son passé de victime de violences conjugales qui, assure-t-elle, l'ont menée à couper le pénis de son mari en 1993.
Vingt-cinq ans après, Lorena Bobbitt, qui aujourd'hui a repris son nom de jeune fille, Gallo, raconte son histoire dans un documentaire en quatre épisodes d'AMAZON qui porte son prénom.