Un collectif d'ONG vient de rendre un rapport sévère sur l'application de la loi sur le devoir de vigilance, qui impose aux multinationales de prévenir les atteintes aux droits humains et à l'environnement chez leurs fournisseurs et sous traitants. DANONE, qui s'affiche en pointe dans ce domaine, n'échappe pas aux critiques.