par Emma Pinedo et Jesús Aguado
MADRID (Reuters) - La présidente de Santander, Ana Botin, a défendu mercredi devant le tribunal le retrait de l'offre d'embauche faite il y plus de deux ans au banquier italien Andrea Orcel pour devenir le directeur général de la banque espagnole.
Un tribunal de Madrid doit déterminer si la lettre d'offre adressée en septembre 2018 par Santander à Orcel est un contrat de travail juridiquement contraignant ou seulement une offre initiale.
La présidente de Santander a défendu mercredi que la lettre "n'était pas un contrat", et que le conseil d'administration de la banque n'avait jamais approuvé son régime de rémunération finale.