PARIS (Reuters) - (Bien lire VIIIe arrondissement au §10)
Le malaise de la police menace de revenir sur le devant de la scène sociale au moment où le mouvement des "Gilets jaunes", qui mobilise les policiers depuis un mois, paraît s'essouffler.
Leurs syndicats, qui sortent d'élections professionnelles, jugent les policiers au bord de la rupture et oubliés par les annonces faites il y a une semaine par Emmanuel Macron pour apaiser les "Gilets jaunes".
Ils se plaignent notamment d'un manque de reconnaissance du gouvernement et en appellent au chef de l'Etat mais invitent cependant encore en ordre dispersé leurs adhérents à l'action.