La dernière levée de fonds de l'éditeur français de logiciels récompense un modèle d'affaires tourné vers les entreprises, qui met l'intelligence artificielle en pratique. Mais le tour de table presque exclusivement américain de la start-up traduit aussi l'incapacité de la France et de l'Europe à financer la création et la croissance de ces jeunes pousses.