par Simon Carraud
PARIS (Reuters) - Comment un groupe de femmes djihadistes sous l'influence du groupe Etat islamique (EI) en est venu à planifier des attentats, dont un aux bonbonnes de gaz à un jet de pierre de Notre-Dame ? C'est la question centrale d'un procès aux assises qui s'ouvre ce lundi, à Paris, trois ans après les faits.
Huit personnes sont jugées pour leur implication dans cette affaire qui avait fait grand bruit à l'époque, moins d'un an après les attaques sanglantes du 13 novembre 2015, en région parisienne, et moins de deux mois après l'attentat au camion bélier, sur la promenade des Anglais, à Nice.