Nouvel An aux urgences à Avranches: une nuit de répit pour "ne pas péter les plombs"
"Ce sont des nuits comme celles-là qui nous permettent de ne pas péter les plombs", lâche Catherine Victor, 39 ans, infirmière aux urgences du centre hospitalier Avranches-Granville (CHAG), quelques minutes après le passage à la nouvelle année.
Réunie dans la salle des médecins, l'équipe soignante se regarde, bras ballants: "on n'a jamais vu une Saint-Sylvestre aussi calme". Renforcés d'une infirmière pour cette nuit traditionnellement mouvementée, les urgentistes d'Avranches n'auront finalement pas affronté l'agitation promise.