Le Premier ministre d'Irak affirme ne pouvoir alléger les peines des jihadistes
Le gouvernement irakien n'est pas habilité à alléger les peines des jihadistes étrangers condamnés à mort, dont onze Français, a affirmé le Premier ministre Adel Abdel Mahdi à l'AFP dans son premier long entretien à un média international.
Seule la justice peut le faire et la cour de Cassation qui examine tous les verdicts pour "terrorisme" doit encore rendre son avis sur les peines prononcées, notamment à l'encontre des onze Français condamnés début juin. Elle peut les confirmer, les modifier ou les annuler.