A mesure que le bilan que le BCE s'épaissit et la dette de l'Etat français s'alourdie, les pires scénarios sont échafaudés. Le moment venu, le remboursement de cette dette faramineuse sera source de bien des maux. Une thèse du remboursement à laquelle ne souscrit pas Patrick Artus, chef économiste chez NATIXIS, qui prédit néanmoins une grinçante surprise à l'arrivée.