PARIS (Reuters) - Les salariés ne doivent pas être la variable d'ajustement de la réorganisation de
RENAULT, dont la survie est menacée, mais le constructeur automobile doit pouvoir ajuster son outil de production pour garantir sa compétitivité, a déclaré vendredi Bruno Le Maire.
"Bien entendu les salariés ne doivent pas être la variable d'ajustement de Renault" mais "il faut laisser aussi à
RENAULT la possibilité d'ajuster son outil de production, d'être plus compétitif, parce que sinon
RENAULT sera menacé", a déclaré le ministre français de l'Economie et des Finances sur Europe 1.
Selon Bruno Le Maire, l'objectif doit être de localiser en France des productions compétitives centrées sur le véhicule électrique.