L'ancienne antenne de l'OTAN à Court-Saint-Etienne est finalement tombée, après un 2e tir
Après le premier essai, les explosions destinées à couper deux des quatre pieds de cette ancienne antenne de l'OTAN, plus haute que l'Atomium, avaient dévoilé des ancrages plus solides et plus profondément pris dans les socles en béton que prévu initialement. La masse de métal avait été coupée par l'explosion, mais l'antenne était restée debout, "posée" sur son poids et restant stable.
Les responsables ont dès lors hésité à la faire basculer à l'aide de câbles, ou tirer une deuxième charge d'explosifs. C'est finalement cette deuxième solution qui a été adoptée et a fonctionné, avec davantage d'explosifs que lors du premier essai, et un périmètre de sécurité considérablement élargi pour éviter tout risque.