Entre horizontalité et verticalité, La République en marche à la recherche de son équilibre
La République en marche, acte II ? Le parti présidentiel, qui a réuni samedi ses cadres et militants à Bordeaux, est toujours animé de tensions internes sur son fonctionnement jugé par certains insuffisamment démocratique, notamment autour des investitures pour les municipales.
Après la verticalité assumée du macronisme triomphant, place à la "décentralisation" et "à plus de démocratie interne", a exhorté le patron du parti, Stanislas Guerini, lors des universités d'été du parti - baptisées "Campus des territoires" -, en revendiquant "humilité et modestie".