
CHRONIQUE. Le paquet fiscal accepté par la Chambre des représentants le 22 mai est censé soutenir l’économie américaine sans creuser les déficits. Un pari risqué
Alors que l’actualité des marchés a été dominée par la saga des droits de douane américains depuis début avril, entraînant une baisse du dollar et la volatilité des taux et des actions, un nouveau chapitre vient de s’ouvrir. Il ne réduira pas les risques d’investissement cette année.
«Big Beautiful Bill», c’est son nom. Le paquet fiscal voulu par Donald Trump et voté de haute lutte par la Chambre des représentants prévoit la prolongation des baisses d’impôts instaurées en 2017, compensée par une réduction des crédits d’impôts liés à l’Inflation Reduction Act hérité de l’ère Biden et des dépenses de santé. Mais compensée… en partie seulement.
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