par Matthias Blamont, Gwladys Fouche et Essi Lehto
PARIS (Reuters) - Plusieurs pays européens envisagent d'administrer des deuxièmes doses de vaccins contre le COVID-19 différentes des premières, certaines personnes ayant reçu une primo-injection d'
ASTRAZENECA n'étant désormais plus éligibles à ce vaccin réservé aujourd'hui à des populations plus âgées.
L'Agence européenne du médicament (EMA) doit présenter ce mercredi lors d'une conférence à 16h00 (14h00 GMT) ses conclusions actualisées de pharmacovigilance sur le vaccin d'
ASTRAZENECA et son lien éventuel avec la formation de caillots sanguins.
Suspendu quelques jours dans plusieurs pays le mois derniers sur fond d'inquiétudes sur un éventuel risque thromboembolique, le vaccin du laboratoire anglo-suédois a ensuite été réintégré dans la plupart des campagnes de vaccinations nationales après que l'EMA a réaffirmé sa balance bénéfices-risques favorable.