Avec moins d'1% à la dernière présidentielle, le NPA fait figure de petit poucet à l'extrême gauche du champ politique. Et la scission du parti en deux branches, qui paraissent irréconciliables tant elles sont engagées dans une bagarre de légitimité, sème la confusion.
"C'est vrai que tout ça fait des noeuds aux cheveux", reconnait Gaël Quirante, porte-parole de la "plateforme C" du Nouveau Parti anticapitaliste.