L'ancien entraîneur d'athlétisme Alberto Salazar, suspendu quatre ans pour "incitation" au dopage, nie les accusations d'abus ou de discrimination dont il fait l'objet par d'anciens athlètes du groupe d'entraînement
NIKE Oregon Project, reconnaissant cependant un langage "dur" envers plusieurs d'entre eux.
En disgrâce, depuis sa suspension dont il vient de faire appel devant le TAS, Salazar est sous le feu des critiques de la part de plusieurs coureurs pour ses méthodes d'entraînement au sein du
NIKE Oregon Project, auquel a mis fin l'équipementier américain le 11 octobre.
Ainsi, la semaine passée, l'athlète Mary Cain a révélé au New York Times avoir été victime de sévices physiques et mentaux subis au sein du groupe, résultants d'un régime imposé par Salazar.