Lundi, sept familles françaises, réunies au sein du collectif Algos Victima, ont porté plainte contre le réseau social chinois, accusé de nuire à la santé mentale des jeunes. Des procédures similaires ont été lancées aux Etats-Unis et au Canada
C’est un peu le musée des horreurs. Dépression, anxiété, tentatives de suicides ou même suicide tout court: les adolescents souffrent énormément de la consultation de TikTok, selon plusieurs plaintes déposées à son encontre. Lundi, un collectif réunissant sept familles françaises a activé la justice à Paris. Avant elles, des écoles et des Etats américains avaient aussi porté plainte contre le réseau chinois, accusé du pire.
En France, la plainte déposée à paris émane pour la première fois d’un collectif de parents, appelé «Algos Victima», regroupant sept familles comptant des adolescents ayant souffert de l’utilisation de TikTok. Selon France Info, qui relatait cette action en justice lundi matin, l’objectif du collectif est de faire reconnaître la responsabilité du réseau social dans la dégradation de l’état de santé mentale et physique de ces enfants. L’affaire concerne sept adolescentes. Deux d’entre elles ont mis fin à leurs jours alors qu’elles avaient 15 ans, quatre ont tenté de mettre fin à leurs jours, et une autre a connu des problèmes d’anorexie.
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