A Lesbos, malgré les promesses les rescapés de Moria ne veulent pas d'un nouveau camp
Le fonctionnaire vante les mérites du nouveau camp de tentes en construction sur l'île grecque de Lesbos mais ses interlocuteurs, des demandeurs d'asile afghans rescapés du camp de Moria incendié, ne veulent pas se retrouver dans un camp fermé dont ils ne pourront plus sortir.
Aidé par un traducteur parlant farsi, Michalis, un employé des services d'asile grecs, insiste: "Vous ne pouvez pas rester à la rue. C'est dangereux et je vous rappelle que le coronavirus est partout".