Le Crédit suisse et UBS ont dû acter de lourdes provisions en raison de la débâcle du fonds spéculatif américain Archegos auquel ils avaient prêté de l’argent. Faut-il y voir des cas isolés liés à une mauvaise gestion des risques ? Ou faut-il craindre des accidents similaires, qui justifieraient une séparation des métiers de banque d’affaires et de détail évoquée à chaque crise sans jamais se concrétiser ?
par Pamela Barbaglia
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