Des techniciens en blouse et charlotte s'affairent dans la "salle blanche" d'Airbus à Toulouse, où est assemblé un gros satellite géostationnaire Thuraya 4 pour un opérateur émirati qui fournira la télévision par satellite en Afrique et au Moyen-Orient.
Ce fonctionnement consistant à mettre de gros satellites en orbite géostationnaire à 36.000 km d'altitude, qui a structuré l'industrie européenne pendant des décennies, a été secoué après l'arrivée de SpaceX d'Elon Musk qui lance à bas coût des constellations de satellites en orbite basse.
"Il est maintenant possible d'envoyer plus pour moins cher, c'est devenu le Far West", s'insurge un connaisseur du secteur.
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