Un directeur venu de l’interne, ce choix qui rassure La majorité des grandes entreprises suisses promeuvent à leur direction des profils du sérail plutôt que de se tourner vers des externes. Et le contexte incertain ne fait que renforcer le phénomène Un tiens vaut-il mieux que deux tu l’auras, y compris pour choisir sa directrice ou son directeur? Celui de Swissquote entend à l’avenir être remplacé par un successeur venu de l’interne. Le réassureur zurichois Swiss Rea promu il y a une année à sa tête Andreas Berger, déjà membre de la direction générale. Sans oublier UBS qui privilégierait des candidats internes après le départ de Sergio Ermotti, d’après le Financial Times – information non confirmée par la banque. Ou encore Nestlé, avec la promotion en été 2024 de Laurent Freixe, garant de la culture de la société, pour succéder à «l’outsider» Mark Schneider. Dans le détail des chiffres, pas moins de 66% des directeurs généraux travaillaient déjà dans l’entreprise avant leur nomination: c’est ce que nous apprend le Schillingreport 2025, qui collecte des données sur les directions et les conseils d’administration des 100 plus grands employeurs de Suisse. Et dans les détails des postes de directrices et directeurs actuellement occupés par de nouvelles personnes, on comptabilise même 69% de nomination interne. Voir plus
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