En horlogerie, la vente de détail en dur, briques et mortier, demeure le canal numéro un. Et la capacité du détaillant d’atteindre la clientèle locale est un avantage toujours plus recherché. Exemple avec l’enseigne familiale Lionel Meylan, qui vient de rénover sa boutique sur la place de la Palud, à Lausanne
Il est encore trop tôt pour juger de l’exercice en cours, explique Julien Meylan, codirigeant (avec son frère et son père) des enseignes Lionel Meylan, présentes à Lausanne et Vevey. «La boutique de Vevey a bien fonctionné, mais celle de Lausanne [place de la Palud, ndlr] a été en travaux pendant un an et n’a rouvert que récemment. Nous entendons qu’il y a un certain ralentissement dans la branche, mais nous avons toujours la confiance de nos partenaires et nous continuons de miser sur la clientèle locale.»
En une tirade, le détaillant vient de survoler quelques-uns des points essentiels qui font du point de vente multimarque indépendant un bon baromètre du secteur horloger dans son ensemble.
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