Le paiement par voie numérique, de plus en plus fréquent en Suisse, pose la question des pourboires: lorsque ces derniers sont versés par cartes, ils doivent être correctement inscrits dans les comptes des entreprises, contrairement à ceux donnés en espèce
Plus de salaires pour les employés, moins de travail pour les patrons et aucunes questions de la part des autorités: le pourboire était une sorte d’argent noir. Mais l’augmentation des transactions par carte, téléphone et application l’ont rendu visible. En effet, ces paiements transférés par voie numérique laissent des traces dans la comptabilité des entreprises, rapporte la NZZ am Sonntag. Qui pose cette question: que faire des «pourliches»? Faut-il les taxer?
Voir plus
