A cinq mois des JO-2024, la menace de grèves persiste
A cinq mois des Jeux olympiques de Paris, la "trêve" sociale espérée par les organisateurs est loin d'être garantie: les syndicats tentent d'arracher primes et compensations, mais le dialogue social semble fastidieux et la CGT annonce le dépôt de préavis de grève dans la fonction publique.
Il y a quelques jours encore, le président du comité d'organisation des Jeux Olympiques de Paris Tony Estanguet souhaitait "une trêve" sociale pendant les JO (26 juillet-11 août), implorant qu'"on ne gâche pas la fête".
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