Voici l’écart salarial qui séparait respectivement en 2011 l’Américain Joseph Jimenez (CEO Novartis), Paul Bulcke (Nestlé) et Brady Dougan (Credit Suisse) du plus bas salaire de leur entreprise: 266, 229 et 116. A eux seuls, ces grands patrons illustrent le scandale des rémunérations abusives dénoncées par le conseiller national Thomas Minder, père de l’initiative du même nom en 2013. Quels ont été les impacts des débats sur les rémunérations abusives auprès des actionnaires? Ont-ils désormais le choix de voter de manière consultative sur les salaires des dirigeants? Quelles ont été les conséquences de l’initiative Minder sur les débats? Retour sur un scandale éthique qui a agité les entreprises suisses
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