La suspension des activités de
RENAULT en Russie suscite jeudi une certaine fébrilité chez les salariés du constructeur français, même si les usines hexagonales sont peu exposées.
"Depuis deux ou trois ans
RENAULT n'est pas en super grande forme, on n'avait pas besoin de ça dans le contexte actuel, c'est une angoisse supplémentaire", s'inquiète Jean-François Pibouleau, délégué syndical central CGT.
"La crise des composants comme l'évolution de la situation géopolitique dans un contexte d'économie ouverte (.