STRASBOURG (Reuters) - Bruno Le Maire s'engage, dans une réponse aux syndicats de
GENERAL ELECTRIC publiée vendredi par L’Est Républicain, à vérifier le respect de l’accord signé en 2014 entre le groupe américain,
ALSTOM et l’Etat français, concernant le maintien des centres de décision de l’activité Turbines à gaz à Belfort.
L’intersyndicale CFE-CGC, CGT, Sud, avait adressé le 18 juillet une "mise en demeure" au ministre de l’Economie et des Finances pour qu’il fasse respecter cet engagement, souscrit dans le cadre du rachat des activités "énergie" d’Alstom par GE et valable dix ans.
Les représentants du personnel ont dénoncé la délocalisation de plusieurs fonctions de direction de l’activité Gaz en Suisse et l’aggravation du phénomène si le plan social, annoncé début juin, qui prévoit la suppression d’un millier d’emploi à Belfort, était finalisé.