"Avec Ryanair, on a le choix: payer notre loyer ou manger"
Ils sont cinq et travaillent en tant qu’hôtesses et stewards aux aéroports de Bruxelles et Charleroi pour la compagnie aérienne Ryanair. Ils viennent du sud de l’Europe, de l’Italie, du Portugal, de l’Espagne et de Grèce. Ils sont inquiets et lance un cri de détresse : depuis fin mars, ils ne reçoivent plus que “300 à 600 euros” par mois pour vivre.